Révélée par Gilles Peterson, la chanteuse livre ici son album le plus brut et saisissant.
Daymé Arocena est le symbole d’une nouvelle génération d’artistes cubains en pleine effervescence, qui s’inspirent de la richesse des traditions musicales de leur île natale pour créer un son nouveau et personnel. Son rapport à ses racines lui permet également de tracer des ponts entre les générations, à l’image de ses collaborations avec des monuments tels que Chucho Valdés et Pedrito Martinez.
Après son EP Trilogia, sorti plus tôt cette année, exploration de la spiritualité Santería où chaque titre emprunte son nom a une divinité, elle annonce maintenant son album Sonocardiogram, qui s’inscrit dans le prolongement de l’EP.
L’album a entièrement était produit et dirigé par Daymé et son groupe, aux côtés du pianiste Jorge Luis Lagarza Pérez. L’enregistrement était s’est fait dans un espace improvisé au sein du studio de la famille de López-Nussa à La Havane.
Enregistré dans un studio improvisé dans sa maison de La Havane, c’est Daymé elle-même qui a produit le disque et dirigé les enregistrements.
Sonocardiogram, sortie le 6 septembre sur Brownswood Records. Précommandez-le sur Bandcamp.